25.4.06

concours de poésie

Embourbé tel Carlos Sainz au Rallye Raid, Der Blog rencontre actuellement quelques problèmes liés au fait que son actionnaire majoritaire quitte la proie pour l'ombre et attend que son nouvel opérateur opère à domicile. C'est obscur mais ce sera clair pour certains; à dire vrai Der Blog n'est pas un état, ni une démocratie ; c'est un état d'esprit.

C'est pourquoi, pour faire passer le temps, car il passe tel le fourbe qui s'empresse de dérober les écus, nous (Emmeline Suzor la fille à Marie Stuart, Jean-Claude Crémastère, la trésorière comptable et moi-même) avons décidé, pour vous divertir, d'organiser nonchallamment un vague concours de poésie.

Une fois n'est pas coutume, c'est le révérend chef Alastair Maubeuge qui s'y colle.
- A vous Révérend.

- Merci Plumelle.
(il s'éclaircit la voix)

Eloge de l'opacité

Que ne sembles-tu couard, impie, dont
le silence me pèse ainsi que les années

Que n'as-tu la clé des champs en ta
poche

Il m'en souvient, amis, de l'école
buissonière, et des badauds qui errent

de l'ombre à la lumière

tiens ! des glaïeuls

qui se perdent et se cherchent parmi
les églantiers

toi le ruisseau, et toi l'insecte,
infâmes,

vos clics et vos clacs encharment mon
oreille

et je vais, vaquant, reconquérir la
boue qui s'imprègne en mes bottes.

c'est à vous maintenant

13 Comments:

Anonymous Anonyme said...

je me lève, et je te bouscule, tu ne te réveilles pas, comme d'ahabitude, ma main.

26/4/06 11:54  
Anonymous Anonyme said...

attends c'est nul

26/4/06 11:54  
Anonymous Anonyme said...

je voudrais tant que tu te souviennes
cette chanson était la tienne

26/4/06 13:27  
Anonymous Anonyme said...

ça va maintenant

26/4/06 13:27  
Anonymous Anonyme said...

bon...


Toi qui ne m'appartiens pas, volage,
Voilà je t'aperçois à travers les voilages
Ta peau lisse s'apparente aux aubes claires d'un matin chafouin
chagrin comme la glaire
Tu me contais jadis ah la belle aventure
Je volais,
Désormais, je suis la pierre molle
Que s'envoient les enfants en songeant au passé.

26/4/06 13:31  
Anonymous Anonyme said...

c'est mieux

26/4/06 13:32  
Anonymous Anonyme said...

Radio radieuse
entraînante et suave
tu te glisses le long du radeau de tes rêves
sirène aérienne

26/4/06 18:42  
Anonymous Anonyme said...

celui-là un peu à chier, je trouve.

27/4/06 11:39  
Anonymous Anonyme said...

tant de contrariétés
des contrats en été et des monts enneigés
oui
ton souvenir me gêne
autant que le mystère
qui entoure toute chose à laquelle il manque
hélas
mille explications

27/4/06 11:41  
Anonymous Anonyme said...

A Mother is God in a Child's Eyes

5/5/06 17:58  
Anonymous Anonyme said...

A Child is a Gode in a Mother's Cunt.
What the fuck.

5/5/06 18:04  
Anonymous Anonyme said...

Dussé-je y voir
Clair, que sais-je encore
Et pourtant tu t'endors
dans la lumière du soir

Ils me disaient maligne
Tu mens, tu t'extasies
Depuis toujours je fuis
la chaleur utérine

S'il n'est de pire empire
que celui qui n'est pas
Rien ne vaut le trepas
de l'être que tu mires

5/5/06 18:32  
Anonymous Anonyme said...

Clafyde c'est chanmé tu es chanmée tu es... bon dieu tu es le bon dieu dans les jupes de sa mère

5/5/06 18:45  

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